EHL HOSPITALITY BUSINESS SCHOOL PRÉSENTE UN NOUVEAU MASTER DÉDIÉ AU MANAGEMENT (Suisse)
Après son changement de nom fin 2021, l’EHL Hospitality Business School confirme ses ambitions en proposant un nouveau programme de master qui permet de coupler la force des connaissances en hôtellerie – très recherchées par les recruteurs de nombreux secteurs – avec l’expertise en management apportée par une école de commerce dont des principes avancés de leadership et de stratégie.
EHL HOSPITALITY BUSINESS SCHOOL PRÉSENTE UN NOUVEAU MASTER DÉDIÉ AU MANAGEMENT (Suisse)
Après son changement de nom fin 2021, l’EHL Hospitality Business School confirme ses ambitions en proposant un nouveau programme de master qui permet de coupler la force des connaissances en hôtellerie – très recherchées par les recruteurs de nombreux secteurs – avec l’expertise en management apportée par une école de commerce dont des principes avancés de leadership et de stratégie.
Rencontre avec Chloé Gonon, Post Grad Recruiting & Admissions Manager à l’EHL Hospitality Business School, pour vous présenter ce tout nouveau master of sciences.
Le Master in Hospitality Management (MIHM) en quelques points clés
- C’est un tout nouveau programme proposé par l’EHL à la rentrée de septembre 2022
- Il se déroule en trois semestres, pour un total de 16 mois
- Il vous propose de choisir entre deux spécialisations très concrètes dès le 2e semestre : gestion de la restauration (F&B management) ou finance, immobilier et conseil en hôtellerie (real estate, finance & consulting)
- Il n’est ouvert qu’à 30 étudiants par promotion, ces étudiants ont en général entre 22 et 32 ans
- Il apporte une diversité dans la classe avec un équilibre entre hommes et femmes et au moins 15 nationalités différentes
- Il donne accès à la puissance du réseau des alumni de l’école, que ce soit pour des conseils, des pistes d’emploi, des mises en relation, des soirées de networking…
À qui est-il destiné ?
« Que vous finissiez votre bachelor cet été ou que vous ayez déjà quelques belles années d’expérience, le master in Hospitality Management est idéal pour vous si vous savez quelle carrière en hôtellerie vous recherchez, où vous vous voyez après vos études, comme ouvrir un restaurant, travailler dans le consulting, dans la finance ou le real estate, au siège d’un groupe hôtelier ou d’une société prestataire… » souligne Chloé Gonon.
Dans ce cas, le master in Hospitality Management est fait pour vous, car son intérêt réside dans la spécialisation très concrète : un master en école de commerce va couvrir un champ plus large, comme les finances par exemple, mais sans apporter l’expertise hôtelière.
Quand se fait le choix entre les deux spécialisations ?
Le choix entre les deux spécialisations proposées dans ce master se fait au moment de postuler pour intégrer la formation.
Comment se découpe le programme ?
Les 16 mois se répartissent ainsi : 11 mois sur le campus de Lausanne - cours de général management hôtelier au 1er semestre et cours approfondi selon la spécialisation au 2e semestre – suivi de 4 mois en placement professionnel et enfin d’un mois sur le campus de Lausanne à nouveau pour des cours académiques Innovation et Management, la présentation de la thèse et la graduation tant attendue.
Où se déroule le placement professionnel de 4 mois ?
Le placement professionnel se fait dans une entreprise en relation avec la spécialisation. L’étudiant travaille également en parallèle sur son projet de thèse qui relie cette spécialisation et l’entreprise qui l’accueille.
Les rencontres et le réseau, la vraie richesse du Master in Global Hospitality
Outre l’attrait évident d’étudier pendant 11 mois sur le tout nouveau campus agrandi de Lausanne, les étudiants vont faire des rencontres qui joueront un rôle essentiel dans leur carrière. En effet, ils vont partir à la rencontre d’entreprises partenaires lors de sorties de classe organisées au 1er et au 2e trimestres : hôtels, restaurants… Durant ces visites, les étudiants auront l’opportunité d’échanger en petit comité avec des directeurs.
La venue de conférenciers invités sur le campus est aussi une chance. Ces échanges sont un vrai plus pour les étudiants qui gardent ensuite le contact avec ces professionnels.
Enfin, entrer dans le cercle des alumni de l’EHL est un précieux sésame pour son avenir professionnel et aussi personnel, tant l’EHL est une vraie grande famille. D’ailleurs, avec seulement 30 étudiants venus d’Europe ou encore d’Asie, des liens forts se créent et le groupe devient rapidement une famille multiculturelle, prémices de ce que leur apportera aussi le réseau d’alumni.
Pour Chloé Gonon, « le campus et le réseau sont deux atouts et une richesse extraordinaire pour un étudiant qui se lancera ensuite dans la vie active avec le savoir-faire et le savoir-être, apportés par l’école de l’excellence, et le précieux réseau, deux piliers essentiels pour démarrer une carrière dans les meilleures conditions. »
L’excellence en plus des enseignements
L’EHL est avant tout l’école de l’excellence et cette exigence si utile dans la vie professionnelle est aussi présente dans ce master, à la fois avec les professeurs et avec les professionnels rencontrés.
La moitié des enseignants sont titulaires de PhD, gage d’un haut niveau d’expertise. De plus, avec une classe de seulement 30 étudiants, la proximité avec les professeurs est grande, le contact est très fort : « Les étudiants soulignent que les cours sont presque des cours individuels et que rencontrer des professionnels en situation presque de tête-à-tête est un vrai plus » confirme Chloé Gonon.
Comment se fait la sélection des candidats pour ce master ?
Être en sortie de bachelor, avec deux stages de six mois à son actif, ou bien avoir déjà quelques années d’expérience de travail n’influencera pas votre dossier. Pour Chloé Gonon, ce qui compte, c’est « la motivation à rejoindre le programme, pourquoi ils veulent le suivre, en quoi ce programme va les aider dans leur carrière future. Il faut avoir déjà une idée de carrière : une passion pour l’industrie est suffisante, il ne faut pas nécessairement une idée précise de ce qu’ils veulent faire, mais surtout cette motivation, cette passion… »
Alors que, face à la pénurie, des entreprises lâchent prise en accueillant tous les profils, pourquoi poursuivre ses études avec un programme comme le master, sur 16 mois ? Quel est l’intérêt pour les étudiants et pour les entreprises qui vont soit financer la formation, soit les recruter après l’obtention de leur diplôme ?
Pour Chloé Gonon, le secteur va compter sur la nouvelle génération pour se renouveler, mais cette nouvelle génération doit aussi apprendre à canaliser sa créativité, et c’est ce que le master va leur apporter : « Le tourisme a déjà bien repris. L’innovation compte encore plus aujourd’hui. Il faut maintenant faire partie du futur, façonner cette nouvelle industrie. Comment le faire ? Les étudiants sont bien plus créatifs en raison de leur âge et de leur expérience de la technologie. Ce sont eux qui vont redonner de l’énergie à l’industrie. Mais pour cela, il faut leur donner les compétences et les outils pour canaliser cette créativité, pour exprimer leurs idées de façon réaliste, en leur donnant les clés de la finance, du management, etc. »
Comment se passe le recrutement des étudiants pour ce programme ?
Il a fallu développer un recrutement adapté au secteur de niche qu’est l’hôtellerie. Il y a deux ans, Chloé Gonon a créé les Masters’Days pour permettre à tous les candidats en dernière année de bachelor, et au-delà même, à toutes les personnes intéressées, de connaître les différents programmes des différentes écoles et universités membres.
Au départ, il y avait les huit universités de l’European University Consortium (EUC) mais aujourd’hui, le succès est tel que, pour la 4e édition en octobre prochain, les 17, 18 et 19 octobre, ce sont environ 40 universités du monde entier qui vont participer sur une plateforme en ligne dédiée.
Il y a désormais deux éditions Masters’Days. Et entre chaque Masters’Days s’organisent également des visites d’université où chaque recruteur des écoles ou universités membres du réseau va se rendre dans les autres universités, une par une, pour présenter les programmes de masters.
Ces Masters’Days sont aussi accessibles par des personnes externes : « Tout le monde peut participer, y compris des parents ou des personnes déjà en poste et qui souhaiteraient reprendre leurs études et suivre un master », souligne Chloé Gonon, « Pendant ces trois jours, les candidats peuvent suivre des présentations, échanger avec les écoles et universités, envoyer leur candidature et voir également des interventions de professionnels qui donnent des conseils. Tout ce contenu est accessible après l’événement, tout au long de l’année, et on peut retrouver également les coordonnées de chaque master. »
Master in Hospitality Management ou Master in Global Hospitality ?
L’EHL propose par ailleurs un master in Global Hospitality (MGH). Alors lequel choisir ? Le MGH est vraiment fait pour des candidats qui recherchent une vision globale de l’industrie hôtelière ou qui ne savent pas encore exactement dans quel département ils souhaitent travailler. Le Master in Hospitality Management est fait pour des personnes qui savent déjà vers où elles veulent aller.
Travailler en Suisse après l’obtention du master
Il est possible de rester travailler en Suisse une fois le master obtenu sans trop de complications grâce au placement au 3e semestre. L’EHL a d’ailleurs un service d’accompagnement des jeunes diplômés, durant un mois après la remise des diplômes : CV, candidatures et accès aux offres de la plateforme.
Chloé Gonon rappelle d’ailleurs que 90% des étudiants ont déjà trouvé dans les trois mois qui suivent la fin de leurs études.
Coût de la formation : 39.500 francs suisses plus la vie en Suisse, soit environ 60.000 francs suisses. Il est possible de faire une demande de bourse auprès de l’école, de paiement par mois ou encore d’avoir la formation prise en charge en partie ou intégralement par une société ou une fondation gouvernementale.
Crédits universitaires : 90 crédits ECTS et 60 crédits américains
Sylvie Leroy, éditeur enthousiaste depuis 1999 Sa passion pour l'hôtellerie de luxe, « une partition jouée à la perfection par un fantastique orchestre », conduit Sylvie Leroy à créer en 2004 le Journal des Palaces, quotidien en ligne dédié aux acteurs du secteur, avec des actualités, des offres d'emploi et des ressources utiles.