LE BRISTOL PARIS: SO CHIC, SO CAT, SOCRATE. (France)
“Il n’y a pas de chat ordinaire“, Colette |
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LE BRISTOL PARIS: SO CHIC, SO CAT, SOCRATE. (France)
“Il n’y a pas de chat ordinaire“, Colette |
Catégorie : Europe - France - Expériences exclusives
- Quoi de neuf ?
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 15-10-2021
Fa-raon, mascotte emblématique du Bristol Paris, prend sa retraite et laisse la place à son fils Socrate.
Même les vies de rêve donnent parfois envie d’en changer. Depuis 11 ans, Fa-raon, chat iconique du Bristol Paris, partage la sienne entre marbres, tapis de soie, coussins Pierre Frey et jardin éco responsable.
Une vie à cinq à l’heure, trépidante, riche d’une multitude de rencontres, de caresses et de siestes douillettes. Passionnant, mais Fa-raon a décidé qu’il était temps de lever la patte.
C’est au vert, loin des fastes de la vie parisienne, chez Jean-Philippe l’un des réceptionnistes de l’hôtel, que le chat a décidé de s’établir, pour une retraite heureuse bien méritée. Mais hors de question de laisser son fauteuil Taillardat vacant.
Alors, le Pacha du Bristol a préparé sa succession. Et c’est tout naturellement son fils, que Fa-raon a désigné.
Voici donc Socrate, adorable petit bout de chat Sacré de Birmanie de 4 mois, né le 15 juin 2021 à Bazoches-sur-Guyonne près de Paris, avec un poids de 110 grammes à la naissance.
Comme son papa Fa-raon, Socrate nous permet, par son nom, de caresser l’histoire. Après la magnificence de l’Egypte ancienne, c’est toute la finesse de la Grèce antique et philosophique que le chaton porte sur son minois. De son père, Socrate a hérité d’un physique à faire chavirer les cœurs.
Regard bleu lagon hypnotisant, robe de soie neige aux nuances gris perle, pattes gantées et démarche assurée.
Socrate le sait, un destin exceptionnel l’attend
Résident permanent du Bristol, il jouit à sa guise d’un décor somptueux. Il peut sauter de commodes en consoles, s’enivrer de bouquets de fleurs, s’alanguir sur des fauteuils Louis XVI, admirer le portrait de Marie-Antoinette, ou partir à la chasse aux papillons dans le jardin de 1200m2 du Palace. Comble du chic, ses accessoires de voyage sont signés de la Maison Goyard.
Reste une question essentielle qui taraude tous les esprits. Fera-t-il lui aussi du comptoir du concierge, son piédestal stratégique, tel qu’il le fut pour Fa–raon ?
Affaire à suivre…
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