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"Plus loin dans la reconnaissance des Restaurateurs Artisans" selon Claude IZARD, Président des Cuisineries Gourmandes, Vice-Président de l’Association Française des Maîtres Restaurateurs. (France)

"Plus loin dans la reconnaissance des Restaurateurs Artisans" selon Claude IZARD, Président des Cuisineries Gourmandes, Vice-Président de l’Association Française des Maîtres Restaurateurs. (France)

Catégorie : Europe - France - Expériences exclusives - Gastronomie - Récompenses, remises de prix, concours - Gastronomie
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 03-11-2011


Plus loin dans la reconnaissance des Restaurateurs Artisans

Comme vous le savez, le titre « Maître Restaurateur » authentifie l’artisan mais sa reconnaissance définitive sera totale lorsque l’inscription au Répertoire des Métiers en double appartenance avec la C.C.I. sera effective. Un texte est d’ailleurs d’ores et déjà prêt avec la création du Code NAFA Restaurateur Artisan qui reprend la totalité des exigences du titre de « Maître Restaurateur ».

Pour Claude IZARD, Président des Cuisineries Gourmandes et Vice-Président de l’Association Française des Maîtres Restaurateurs, cette inscription permettrait un bond en avant du nombre de Maîtres Restaurateurs -10 000 -.

« Elle permettrait également à la famille des Restaurateurs Artisans de se retrouver au sein des Chambres de Métiers pour mener des actions ciblées sur le développement de la formation en alternance mais aussi de la formation continue.

Le titre Tuteur décerné a tous les Maîtres Restaurateurs avec pourquoi pas la réflexion sur un diplôme spécifique pour ces jeunes qui auraient eu la chance de faire leur formation pratique dans des entreprises artisanales.

L’Amendement Siré n’est pas une usine à gaz comme certains le prétendent mais simplement la mise en lumière des pratiques professionnelles. Il faut accepter de reconnaître la différence du coût entre un produit brut à élaborer (restant à travailler) et un produit pré-élaboré qui contient dans son prix la matière première mais aussi le coût salarial de son élaboration. Il est vrai que la marge bénéficiaire n’est pas la même que pour un produit acheté brut élaboré et transformé sur place par des salariés compétents puisque le coût salarial vient s’y ajouter ainsi que le coût énergétique et celui du matériel nécessaire à cette transformation.

Dans l’actualité d’aujourd’hui sur le taux de T.V.A., je crois que le Restaurateur Artisan inscrit au Répertoire des Métiers devra garder son taux à 5,5 avec un taux intermédiaire pour la restauration d’assemblage ou de réchauffage. Alors la concurrence sera rééquilibrée et la sauvegarde de la Restauration artisanale sera assurée. »

Claude IZARD - Président des Cuisineries Gourmandes
Vice-Président de l’Association Française des Maîtres Restaurateurs.



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