Le Regent Grand Hotel de Bordeaux vous invite à redécouvrir vos 5 sens. (France)
|
|
Le Regent Grand Hotel de Bordeaux vous invite à redécouvrir vos 5 sens. (France)
|
Catégorie : Europe - France
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 18-10-2010
Le restaurant : Le Pressoir d’Argent – un positionnement géographie atypique
Le restaurant : Le Pressoir d’Argent – un positionnement géographie atypique
Situé au premier étage du Regent Grand Hotel Bordeaux, Le Pressoir d’Argent peut accueillir jusqu’à 48 couverts ce qui donne à ce lieu un coté intimiste qui permets d’accueillir des déjeuners ou dîners sous couvert de confidentialité.
Un endroit épicurien, intime mais accessible à tous. Ce lieu invite au voyage aux travers de sa cuisine mais également offre la possibilité de venir le découvrir lors de déjeuner ou dîner d’affaire.
Un lieu qui est également parfait pour un moment d’exception en « amoureux » pour partager un moment magique.
La salle de restaurant est idéalement agencée pour accueillir le spectacle quotidien des chefs de rang travaillant en salle la finition des plats pour exhaler les subtiles saveurs des produits de la mer.
Le Pressoir d’Argent vous invite à mettre en exergue vos 5 sens :
La vue…
Luxe, élégance d’un moment rare réservé à quelques privilégiés : au premier étage du Regent Grand Hotel Bordeaux, Le Pressoir d’Argent a été intégralement dessiné par le designer Jacques Garcia, inspiré par la mer : clichés de poissons et crustacés du photographe Pierre Yves Hervy Vaillant…
Axé sur la mer, le restaurant possède de grands miroirs décorés de coquillages exotiques, des suspensions agrémentées d’étoiles de mer, apportant au lieu une touche baroque supplémentaire…
Le toucher…
Tout commence par la décoration murale avec une peinture en faux marbre en trompe l’œil, des tissus tendus et drapés de chez Lelieve, frise en coquillages naturels…installé au restaurant sur les fauteuils et chaises en feutrine « velours » aux couleurs contemporaines devant une table dressée d’une nappe en lin Vence Ficelle, des couverts de chez Ercuis accompagnés de verres Riedel… tout invite à décupler ce sens du toucher.
L’ouïe…
Le maître d’hôtel sera votre interlocuteur pour vous présentez chacun des plats élaborés…
« Crevettes grises épluchées main, Jus de presse émulsionné truffes », « Sole et coquillages, Rôtie, Risotto au basilic, poivrons rouges, jus brun au balsamique », « Fraises en consommé au Lillet, Sorbet de rhubarbe épicée, crumble croquant »…
L’odorat…
La nature même du restaurant : axé sur les produits de la mer dans une région viticole réputée pour ses vins rouges.
Un véritable parcours olfactif grâce aux senteurs des plats et des vins proposés.
Le goût…
Le Chef Pascal Nibaudeau joue de cette région pour associer de grands crus bordelais à sa cuisine axée sur les produits de la mer…
Un objet rare et majestueux : la presse à homard
La presse à homard a été créée par Jacques LeDivellec pour son restaurant parisien.
A ce jour, il existe seulement 5 presses à homard dans le monde, dont 3 se trouvent dans les restaurants gastronomiques de la chaîne hôtelière The Rezidor Hotel Group : la première au Sea Gril, restaurant du Radisson SAS Royal Hôtel de Bruxelles, la seconde au Fischers Fritz, restaurant du Regent à Berlin et la troisième au restaurant gastronomique Le Pressoir d’Argent, restaurant du Regent Grand Hotel de Bordeaux.
Les 2 autres se trouvent à Paris au restaurant du Chef LeDivellec et au musée Christofle à Paris. Ce dernier est le créateur de cette pièce d’œuvre.
Pour cette presse à homard, les équipes de Christofle ont utilisé 10 kg d’argent d’une valeur de 22 000 euros par pièce.
Pour réaliser cette œuvre, 2 homards vivants ont été utilisés comme modèle.
La dernière pièce construite se trouve au restaurant gastronomique Le Pressoir d’Argent à Bordeaux où, à son tour, Pascal Nibaudeau, Chef étoilé, perpétue cette tradition.
L’utilisation de la presse à homard a un effet théâtral. Tout d’abord, la sélection du homard vivant dans le vivier pour le présenter au client, puis la finition de la recette en salle, avec le pressurage et la confection de la sauce qui exprime la quintessence des sucs du crustacé lié au fumet du homard.
Venez découvrir cette fabuleuse recette au Pressoir d’Argent…
Pascal Nibaudeau, Chef des Cuisines du Grand Hotel de Bordeaux se livre au jeu des questions / réponses pour faire partager sa passion et son univers
Qu’est ce qui vous a poussé à créer cette association vin rouge / poisson ?
Parce qu’aujourd’hui le vin rouge et le poisson sont des choses qui se marient très bien.
On est ici sur une terre Bordelaise, dite terre de viande, or les goûts des gens évoluent, par exemple il n’est plus d’actualité de manger du Fois Gras avec du Sauternes.
Une anecdote : La lamproie à la bordelaise et un plat typiquement local qui existe depuis la nuit des temps. Mélange de poisson et vin rouge.
Ma cuisine est une cuisine très terre et mer, mélange pour moi évident.
J’aime cuisiner le poisson avec le vin rouge, j’aime pratiquer cette technique, pas toujours évidente.
Comment choisissez-vous les vins qui accompagneront vos plats ?
Je travaille en proche collaboration avec mon Sommelier, qui est toujours de bon Conseil.
Nous travaillons sur des projets communs, je lui explique ce que je souhaite et nous procédons aux dégustations.
Qu’est ce qui vous inspire dans la création de vos plats ?
Le produit à la base, quand je le vois. Le visuel est très important, il me permet de me projeter dans la création du plat.
Le mélange des gouts, les poissons n’ont pas le même goût, c’est toujours différent, il faut faire preuve de constante créativité, autant au niveau des garnitures que du poisson lui-même.
Les odeurs aussi m’inspirent, j’aime beaucoup aller à l’océan, l’embrun marin m’inspire...
Quel est votre menu idéal ?
Mon menu idéal serait celui dont on se souvient…
Il allierait goût, texture, originalité et élégance.
Avant toute chose les mets proposés seraient simples et « efficaces ».
Il serait composé de telle façon :
Une boite de caviar pour l’élégance et la texture
Un St Pierre et Fois Gras avec une sauce miroir de vin rouge, pour le goût.
Un biscuit vapeur à l’huile d’olive avec des framboises et une glace au balsamique, pour l’originalité.
Quels sont vos prochains projets ?
Ils sont nombreux !
La gastronomie est en constante évolution, et les projets grouillent ! Nous travaillons au quotidien sur des créations de plats en accord avec de nombreux vins.
Je souhaite à titre personnel illustrer la création d’un livre, qui raconterait la cuisine des parfums... Je vous en dirais plus, mais pas tout de suite !
Avez-vous souvenir d’un commentaire fait par l’un de vos clients et qui vous a marqué ?
Oui j’en ai pleins !
Une femme qui m’a dit un jour : « Quand j’ai vu l’intitulé de votre plat sur la carte, je me suis dit qu’il était impossible à manger. J’ai malgré tout choisi de le goûter, et en le dégustant, c’est devenu une évidence » Quel meilleur compliment pour un chef ?
Quels conseils pourriez-vous donner pour bien associer un met et un vin ?
Il faut toujours veiller à ce qu’il n’y en ait pas un qui l’emporte sur l’autre...
Pouvez-vous nous donner une devise ou une expression qui vous définirait ? et qui définirai votre cuisine ?
L’ordre et la discipline sont mes maîtres mots. Sans eux, rien n’est réalisable...
Si vous étiez un vin, lequel seriez-vous et pourquoi ?
Je serai certainement un Médoc, pour sa puissance, et aussi surement parce qu’il se bonifie avec le temps...
Même questions concernant un produit de la mer ?
Le turbot, de 6 à 8 kilos, parce qu’il est rare...
Dernière question : que souhaitez vous transmettre au travers de votre cuisine ?
Avant toute chose : Un esprit!
Une vision de la table, une façon de manger.
Cette cuisine passe par un sentiment, et c’est ce que je désire retransmettre à mes convives, cette émotion qui nous envahit à la création de chaque plat.
|
|