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LES DOMAINES DE FONTENILLE : HAUTES MERS L'ÎLE D'YEU (France)

Au large des côtes vendéennes, L’Île d’Yeu est un territoire préservé aux airs de bout du monde.

LES DOMAINES DE FONTENILLE : HAUTES MERS L'ÎLE D'YEU (France)

Au large des côtes vendéennes, L’Île d’Yeu est un territoire préservé aux airs de bout du monde.

Catégorie : Europe - France - Économie du secteur - Nouvelles enseignes et affiliations
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 16-05-2022


Goélands, asphodèles et pêcheurs aux visages burinés se partagent des paysages de landes sauvages, de criques et de longues étendues de sable fin.

C’est ici que Frédéric Biousse et Guillaume Foucher ont redonné vie à un ancien hôtel qui tutoie le ciel et les embruns.

Avec ses façades chaulées blanches, ses toits de tuiles et ses 17 chambres s’ouvrant sur l’océan, l’hôtel Les Hautes Mers est à la fois un refuge et un embarquement pour l’outre-mer, là où les senteurs d’iode et l’infinie palette des couleurs marines redéfinissent la perception du temps et de l’espace.

DES LIEUX, UNE PHILOSOPHIE

La Collection Les Domaines de Fontenille Après Le Domaine de Fontenille dans le Luberon, Les Bords de Mer à Marseille, Les Hortensias du Lac à Hossegor, Santa Ponsa et Torre Vella à Minorque, 70 Hectares... & l’Océan à Seignosse, Primard dans la vallée de l’Eure à une heure de Paris, Les Hautes Mers est le 8ème fleuron des Domaines de Fontenille et le nouveau poumon marin de cette Collection d’hôtels de caractère.

Raffiné mais ancré dans le terroir, ce nouvel hôtel se vit comme un havre à la fois haut-de-gamme et authentique, en harmonie avec le paysage puissant dans lequel il s’inscrit.

Associant luxe et simplicité, Les Hautes Mers est un lieu chargé en âme où l’on se ressource et prend le pouls de l’ailleurs.

« Nous sommes heureux de cette nouvelle aventure sur L’Île d’Yeu. Il est rare de trouver sur un territoire autant de qualités : la beauté et la diversité des paysages, une nature exceptionnelle, un patrimoine architectural remarquable, une identité islaise forte et fascinante. »

LA RICHESSE D’UNE CULTURE INSULAIRE

« Notre ambition est de restituer ce qu’il y a de mieux et de plus singulier dans chaque site auquel nous nous amarrons. Nous ne lissons pas les lieux, nous aspirons à conserver leur aspérité. » confient Frédéric Biousse et Guillaume Foucher.

Cela tombe bien. À 17km des côtes vendéennes, L’Île d’Yeu se vit comme un territoire à part.

N’obéissant qu’au règne des marées, les islais veillent avec fierté sur leur patrimoine - leurs hameaux de maisons basses aux volets de couleur, leur lande sauvage hérissée de mystérieux mégalithes, leurs cabanes de pêcheurs frappées de blasons pittoresques, leurs lieux-dits aux surnoms imagés : la Pointe de la tranche, le Phare des Corbeaux, l’Anse des fontaines…

La communauté est soudée par la vie dans les charmants cafés des ports de Port-Joinville ou de Saint-Sauveur, où la profusion des lottes, des raies et des homards pêchés le matin même animent toutes les conversations.

À peine débarqué sur cette enclave marine, on éprouve « une sensation de lointain extraordinaire » (Victor Hugo) et cependant, le continent est à peine à une demi-heure de bateau…

UN POINT DE VUE UNIQUE SUR LA MER

Avec son bâtiment rythmé par des décrochements, ses façades tantôt blanches et chaulées, tantôt de pierres apparentes, sa piscine extérieure chauffée qui prolonge la ligne d’horizon, Les Hautes Mers est en harmonie avec son environnement naturel.

Des travaux, sous la supervision de l’architecte islais Luc Brochard et de l’agence 44 Avril, ont permis de créer 17 chambres et suites qui bénéficient toutes de terrasses privées, dont la plupart offrent une vue sur la mer.

Quant au jardin, qui se déploie en retrait de la magnifique plage de Ker Chalon, il a été repiqué de plantes et d’arbres endémiques - pins maritimes, hortensias, roses trémières, graminées… « Ce n’est pas un hasard si nous accordons tant d’importance aux jardins qui entourent nos maisons : ils en sont l’âme. »

Un projet d’extension de l’hôtel se déploiera sur deux années durant les saisons hivernales. Il permettra la création d’un spa avec piscine intérieure, de 8 chambres supplémentaires et d’une salle de séminaire d’ici 2024.

UNE ATMOSPHÈRE MARINE ET DÉCONTRACTÉE

Frédéric Biousse et Guillaume Foucher ouvrent la voie à une autre idée du luxe.

Dans chacun de leurs lieux d’exception, la sensation de vivre des moments rares et hors du temps compte autant que l’élégance discrète du décor.

De grands tapis clairs et des tissus Pierre Frey dans des gammes de vert pastel et de bleu gris animent l’univers sobre et lumineux des chambres, meublées de fauteuils en bois clair et osier, rythmés par des éléments décoratifs issus du monde maritime.

Des canapés Caravane aux tonalités marines invitent à la lecture et à la contemplation dans les salons qui s’ouvrent sur l’azur. Autour de la piscine, des transats en bois Houé et des parasols bleu-ciel Courant Sauvage complètent le décor. Posé en bord de plage, Les Hautes Mers offre un cadre apaisant, bohème et dépaysant.

« Nous gardons en mémoire nos bonheurs d’enfance au bord de l’océan. Quand on respire les odeurs salines, quand on sent le sable sous les doigts, l’air, le vent. »

La réception de l’hôtel donne le « la » avec son étonnante installation de cordages de bateaux. La salle à manger convie au voyage avec sa spectaculaire flotte suspendue.

UNE EXPÉRIENCE INTIME DE L’ART

De même qu’ils signent eux-mêmes la décoration de chacun de leurs hôtels, Frédéric Biousse et Guillaume Foucher dispersent aux murs des œuvres d’art issues de leur collection personnelle.

Ici, les constructions visuelles et poétiques de Laurent Millet, les photographies ethnographiques de Charles Freger - là, les sculptures minimalistes de Marie Bathellier.

« Nous avons rencontré sur l’île cette artiste étonnante qui crée des totems avec des flotteurs de balisage et des perches de bois. »

SAVEURS LOCALES AU RESTAURANT VENT DEBOUT

Le restaurant Vent Debout d’une quarantaine de couverts, est aussi ouvert à la clientèle extérieure. Il tient son nom pittoresque du vocabulaire local pour décrire une personne qui, ayant abusé des bonnes choses, ne peut plus avancer…

Comme un bateau qui est Vent d’Bout. L’ambiance est amicale et généreuse avec des tables colorées et des chaises Houé en métal et cordes. La Chef Nawal Rezagui, formée par le Chef étoilé Michel Marini du Domaine de Fontenille, est à la manœuvre.

Sa cuisine de bistro, servie dans des assiettes aux couleurs pastel des céramiques JARS, fleurie et vivifiante, est axée sur les produits de la mer, les huîtres charnues de Fromentine, les belles pièces de bar et de dorade, les homards et les palourdes tout juste pêchés. C’est une cuisine de l’instant, sans artifice, qui respecte la justesse des cuissons et les senteurs marines tout en réinventant l’alliance des saveurs.

LE VOYAGE CONTINUE… AU BAR DE LA MEULE

À 15 minutes à vélo des Hautes Mers, le Bar de la Meule est une annexe insolite de l’hôtel, située au sud vierge de l’île dans un port de pêche où se révèle toute l’âme de la destination dominé par une chapelle toute blanche.

Dès qu’ils ont découvert cette crique aux allures de fjord, encastrée entre deux falaises recouvertes de landes, Frédéric Biousse et Guillaume Foucher ont eu le désir d’attacher aux Hautes Mers ce bar haut en couleurs.

Les murs, couverts de vieilles photographies et de gravures qui illustrent la pêche et la vie marine, encadrent des tables de bois sur lesquelles le carpaccio de Saint-Jacques, le tartare de thon ou le risotto aux salicornes sont les bienvenus après la balade.

« Nous voulons conserver l’esprit « vieux loup de mer » des lieux, les lambris et les ex-votos aux murs et la présence de cette baleine en bois de plusieurs mètres suspendue à la charpente du bâtiment. »

TOUT UN MONDE… À FLEUR D’EAU ET DE LANDES

L’Île d’Yeu s’étend sur 9,5km de long et 4km de large mais les activités ne manquent pas sur cette terre émergée, bordée de superbes plages de sable sur la côte est et de criques et de falaises granitiques sur la côte sud.

Aux hasards des jours, des heures et des vents, on enfourche son vélo pour partir à la découverte des nombreux dolmens, ou bien on chevauche les vagues sur un kayak. On pêche le merlu depuis un bateau festonné de fanions. On goûte aux spécialités locales sur le marché du port.

Randonnées, cours de yoga, sorties à la voile, surf, ballade à cheval, pêche à pied…

Les journées sur l’île semblent courtes même si les couchers de soleil s’éternisent. Il est temps alors de gagner l’ouest et de contempler l’embrasement du ciel et des eaux avec un pique-nique de saison, prodigue en tartines beurrées, bulots et palourdes, un verre de vin blanc à la main.

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