UMIH : HÔTELS, CAFÉS, RESTAURANTS : 2 ÉTABLISSEMENTS SUR 3 POURRAIENT DISPARAÎTRE (France)
Selon une enquête réalisée après la mise en œuvre du 2ème confinement en France, par les 4 organisations professionnelles représentatives du secteur, le GNC, le GNI, l’UMIH et le SNRTC, la crise du coronavirus pourrait entrainer la fermeture de 2 établissements sur 3 dans le secteur de l’hôtellerie-restauration. |
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UMIH : HÔTELS, CAFÉS, RESTAURANTS : 2 ÉTABLISSEMENTS SUR 3 POURRAIENT DISPARAÎTRE (France)
Selon une enquête réalisée après la mise en œuvre du 2ème confinement en France, par les 4 organisations professionnelles représentatives du secteur, le GNC, le GNI, l’UMIH et le SNRTC, la crise du coronavirus pourrait entrainer la fermeture de 2 établissements sur 3 dans le secteur de l’hôtellerie-restauration. |
Catégorie : Europe - France - Économie du secteur
- Associations et Syndicats
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 12-11-2020
Plus de 6 600 entreprises de toute la France ont répondu à l’enquête des organisations professionnelles dont 80% de cafés, bars, restaurants et 20% d’hôtels.
A la question « craignez-vous que cette 2ème fermeture administrative puisse condamner votre établissement », 65.8% des professionnels ont répondu OUI.
A l’occasion de cette enquête inédite les professionnels étaient également invités à indiquer quels sujets prioritaires le gouvernement doit traiter.
- Pour 76.5% des professionnels répondant, la 1ère priorité est l’exonération des charges sociales patronales pour toute l'année 2020. - Arrivent ensuite à égalité, pour 55% des professionnels, l’indemnisation du chef d’entreprise (qui ne bénéficie pas du chômage partiel) et les loyers pendant les périodes de confinement et de couvre-feu. - Les assurances (pour 53% des professionnels), la prise en charge des congés payés acquis par les salariés sur les périodes de chômage partiel (pour 42% des professionnels) et l’accès au Fonds de Solidarité pour toutes les entreprises (pour 28% des professionnels) complètent les demandes principales.
La profession fait face à une crise inédite qui va entrainer un nombre sans précédent de faillites et de licenciements », alertent les organisations professionnelles. « La perspective de fermeture de 2 établissements sur 3 est inacceptable. L’Etat doit venir au soutien de nos professionnels empêchés de travailler et pour cela répondre à leurs demandes par des mesures aussi fortes qu’indispensables et urgentes. »
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