La Grande Maison Bernard Magrez, résidence de tous les arts (France)
Pour faire battre le cœur d’une ancienne maison bordelaise, la passion est impérieuse. |
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La Grande Maison Bernard Magrez, résidence de tous les arts (France)
Pour faire battre le cœur d’une ancienne maison bordelaise, la passion est impérieuse. |
Catégorie : Europe - France - Économie du secteur
- Ouvertures d'hôtels
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 01-12-2014
Il faut savoir la transcender, écouter l’aspiration des voyageurs, déceler la part de folie qui bouleversera un concept hôtelier, comprendre ce que chaque hôte vient y chercher pour savoir le lui offrir. L’ambassadeur planétaire du goût et le compositeur de vins rares unis pour le meilleur de la table française, avançaient déjà côte à côte depuis des années sur le chemin de l’excellence. Puis un jour de printemps, Joël Robuchon et Bernard Magrez ont concrétisé un projet d’hôtel-restaurant, en faisant du rêve de chaque hôte une réalité à vivre, en leur offrant une émotion pure à partager.
« La Grande Maison » : C’est au cœur de Bordeaux, dans un hôtel particulier du début du siècle dernier, face à l’Institut Culturel Bernard Magrez, que se niche désormais cette adresse incontournable, résidence de tous les arts.
Une belle demeure en pierres blanches, à l’architecture classique fin 19e, riche héritage du splendide patrimoine bordelais : Le grand portail en fer forgé s’ouvre sur un jardin luxuriant, où parade Pline l’Ancien, un olivier deux fois millénaire, tel un gardien de la sagesse. L’art s’affiche déjà avec une sculpture ronde, « Le Crâne de la Terre » de l’artiste chinoise Shen Yuan, premier trait d’union entre l’Institut Culturel et la Grande Maison Bernard Magrez…
Au-dessus des marches du perron, l’élégante façade est ornée d’une moulure où deux initiales s’entrelacent. Celles d’un éminent juriste bordelais, esprit contestataire et doyen de la faculté de droit en son temps, qui avec son épouse, a fait construire cet hôtel particulier. D’une famille de négociants en vins, Léon Duguit a toute sa vie durant, fait de sa demeure, un salon d’intellectuels, recevant ses condisciples hommes de droit et grands voyageurs du monde entier. Sa bibliothèque recensait des milliers d’ouvrages originaux, du parquet au plafond, comme sa cave, les plus grands crus de Bordeaux. Quelques ouvrages d’exception ont été restaurés, soigneusement rangés dans le salon bibliothèque portant aujourd’hui son nom et devenu l’une des deux salles à manger du restaurant Joël Robuchon. La tradition culturelle perdure et l’histoire continue de s’écrire à La Grande Maison.
Six chambres luxueuses et élégantes, côté table, deux offres de restauration, le restaurant gastronomique et « l’Olivier » dans une ambiance très décontractée. « La Grande Maison Bernard Magrez », aussi bien par la décoration au style Napoléon III revisité, l’accueil intimiste, la table, les grands crus bordelais, l’ambiance feutrée, va faire revivre toute l’histoire de la ville du début du siècle dernier. Quand les Bordelais se recevaient entre eux et chez eux, dans ces hôtels particuliers cossus, aujourd’hui l’âme et la mémoire vivante de la ville.
Cet établissement est… une grande maison. Où l’expérience client est au centre de toutes les attentions, pour lui offrir un émerveillement de tous les instants. Où l’authenticité bouscule le luxe tapageur. Où élégance se conjugue avec raffinement. Où le service à son triple A :
Attentionné, Authentique, Aérien. L’assiette et le service parfait du Meilleur Ouvrier de France et les flacons du compositeur de vins rares.
Plus quelques autres, car la carte des vins présentera tous les Crus Classés de Bordeaux et assimilés, soit 259 références ! L’art de recevoir à la française, entre harmonie pure et intimité rare.
Raffinement et élégance des six luxueuses chambresDerrière la solide bâtisse en pierres blanches, il y a le grandiose de l’époque Napoléon III. Un style parfaitement adapté à Bordeaux qui comme chacun sait, a vu certains de ses grands vins du Médoc et de Sauternes, devenir Grands Crus Classés en 1855. La ville doit son célébrissime classement de 1855, à Napoléon III….
Cette grandeur de l’époque s’illustre également dans l’architecture intérieure de « La Grande Maison Bernard Magrez » : plafonds élevés, fenêtres hautes, moulures aux murs, pierre apparentes et opulentes, escalier majestueux de l’entrée qui mène aux chambres.
Charme, élégance et raffinement se conjuguent dans les six luxueuses chambres : matières, soyeuses, couleurs, mobilier, moquettes et luminaires s’harmonisent, dessinant un intérieur unique au confort moelleux. Les murs sont couverts de tissus tendus et de grands rideaux ornent toutes les fenêtres.
«J’ai souhaité un décor très fleuri, assez audacieux pour Bordeaux en créant une nouveauté très à la française, où le luxe certes présent, se réfugie derrière le charme et le raffinement » confie la décoratrice Frédérique Fournier qui a choisi tous les éléments décoratifs chez des artisans français, fidèles au respect des traditions.
Parées de rose, vert et parme fleuri, framboise pétillante, les chambres de « La Grande Maison » jouent la carte de la séduction. Tout y est raffiné et perlé, des tissus tendus de soie brodée Braquenié de la maison Pierre Frey, la passementerie Houlès, les meubles Moissonnier, la robinetterie Horus, les salles de bains en marbre de Carrare et travertin gris avec les produits Hermès XXL. Ultime attention, différents pour Madame et pour Monsieur…
Chacune a sa personnalité, dans le style revisité Napoléon III, mais toutes ont pour fil conducteur les grands vins. Un clin d’œil au maître des lieux, et à la Passion d’une vie, nom d’ailleurs de l’une des chambres. Lumière, Contemplation, Sagesse, Espérance, Harmonie, sont les voisines et toutes offrent un grand vin de Bernard Magrez choisi en parfaite concordance avec l’ambiance et le nom.
Loin de l’accumulation clinquante des décorations des hôtels de luxe, « La Grande Maison Bernard Magrez » arbore un mobilier d’époque rare. Quant à l’austérité ostentatoire des établissements anciens, ici elle a laissé place à la générosité et à l’intimité.
Un séjour à « La Grande Maison », tout comme un déjeuner ou un dîner, sera avant tout un moment d’émotions pures. Pour une clientèle individuelle, internationale et locale, curieuse, éclectique, amoureuse du sur-mesure, épicurienne, qui veut prendre du temps au temps, en profitant de l’instant présent, en picorant le meilleur. Le vrai luxe aujourd’hui. Et être émerveillé de petits détails et de grands moments.
Une table haute-couture et une cave unique dans un écrin harmonieuxEn installant son restaurant à « La Grande Maison Bernard Magrez », Joël Robuchon offre à Bordeaux une dimension gastronomique. Joli défi de venir retrouver des étoiles en France, dans une ville de province, pour un résident des grandes métropoles internationales. Mais Bordeaux n’est-elle pas la capitale mondiale des vins ?
Un retour dans son pays de cœur scrupuleusement étudié avec plus que jamais les deux maîtres mots de l’artisan de la cuisine haute-couture : le terroir et le produit. « J’ai l’envie de revisiter certains plats typiques de la tradition française avec les beaux produits du Sud-Ouest, magnifiés par ses grands vins. Je souhaite par ailleurs, allier Innovation, Modernité et Tradition pour une recherche permanente de la créativité dans l’exécution de ma cuisine», précise Joël Robuchon.
Si exceptionnellement il s’installe loin d’une grande capitale, il est conscient, et ravi, de ce nouveau challenge en France « je vais m’entourer des meilleurs et mon but est d’arriver à un niveau 3 étoiles. Après, c’est le Guide Michelin qui décidera ».
Pour cela le grand chef a fait appel à des fidèles compagnons de route pour gérer et animer l’équipe cuisine et salle d’une cinquantaine de personnes, incluant un boulanger et une chef pâtissière.
- Le chef Japonais Tomonori Danzaki, pour mettre en musique la cuisine du maître, fidèle depuis 20 ans et avec qui il a déjà ouvert Tokyo, Las Vegas et Singapour. Avant un apprentissage chez quelques grandes toques françaises, Guy Savoy, Bernard Loiseau ou encore Taillevent.
- Le directeur Jean-Paul Unzueta, venant de Monaco où il dirigeait l’hôtel Métropole avec deux restaurants étoilés de Joël Robuchon.
Dans son restaurant gastronomique, le chef a donc délibérément choisi l’innovation notamment dans la composition d’un menu particulier comprenant 4 services de 3 hors-d’œuvre très contemporains, suivi d’un plat copieux de tradition française puis d’assiettes de desserts personnalisées. Un menu qui changera bien sûr au fil des saisons.
Joël Robuchon a également souhaité remettre à l’honneur la découpe en salle pour le plat tradition « c’est un tel plaisir de voir le geste précis de la découpe et c’est une tradition de service purement française qui fait pleinement partie de notre art culinaire ».
Pintade, poularde, pièces de bœuf, agneau, canard… mais aussi saumon ou bar, seront servis entiers pour deux.
La carte fait la part belle à quelques plats signatures, les incontournables du chef, qui ont fait sa réputation et que les clients souhaitent retrouver, notamment la gelée de caviar à la crème de choux fleur, la tarte friande aux truffes aux oignons confits et lard paysan, le foie gras de canard aux truffes cuit en cocotte lutée au fumet de céleri. Sans oublier la fameuse purée de pommes de terre…
Côté décoration, dans les deux salons du restaurant gastronomique, l’interprétation du style Napoléon III insufflée par la décoratrice, s’inscrit dans l’élégance : boiseries et moulures grises, moquette et rideaux en variation de parme, lumière du jour par les hautes fenêtres ou lumière tamisée du soir des lustres et petites lampes de table signées Baccarat. L’un des salons, bibliothèque de l’ancien propriétaire Léon Duguit, se pare de rouge soutenu et de parme, alignant sur ses hautes étagères, les livres restaurés de l’illustre juriste. Un écrin raffiné et une mise en scène chaleureuse pour magnifier déjeuners et dîners : arts de la table choisis chez Christofle, verres et carafes Baccarat et ultime clin d’œil à l’art, avec les assiettes de présentation et à pains en céramique, spécialement conçues par l’artiste Erik Ifergan, provenant de l’atelier qui abritait le four de Picasso à Vallauris.
A « l’Olivier », la seconde offre restaurant de Joël Robuchon, pas de menu car il souhaite d’abord une ambiance bar, chaleureuse, encore plus décontractée qu’au gastronomique où les clients prendront plaisir à venir déguster un plat, un verre, avec notamment un service rapide pour les déjeuners.
Une carte courte avec quelques clins d’œil étonnants comme une pizza fine au jambon de parme artichauts violets et feuilles de riquette, une sole entière grillée à la plancha avec une sauce vierge d’aromates, ou le traditionnel filet de boeuf grillé ou béarnaise, tartare épicé avec frites, un club sandwich poulet ou saumon fumé, escorté de bacon, hamburger ou le cheese burger à la tomate aux oignons et aux condiments.
Ambiance tout autant raffinée à « l’Olivier » avec un brin d’audace donnée par les deux sublimes œuvres d’art photographique de la collection privée Bernard Magrez semblant dialoguer ensemble, le lustre et appliques de Murano en verre soufflé. Un esprit très décontracté avec tables basses, fauteuils et banquettes rayées dans un dégradé de mauve, violine, prune et encadrant la cheminée, d’illustres flacons de cognac et armagnac et autres single malt d’Ecosse hors d’âge.
« L’Olivier », outre les petits déjeuners qui y sont servis, reste également l’endroit de prédilection pour un après-midi gourmand, autour d’une sélection de thés rares accompagnée d’un chariot de pâtisseries fines. Et le must, à l’heure de l’apéritif convivial autour de quelques flûtes de grandes cuvées de champagne ou verres de grand vin.
L’on peut déjà rêver au sublime mariage de ces assiettes haute-couture avec les meilleurs millésimes de Pape Clément, comme le 2010 et sa fulgurante note 100 de Parker, le gourou américain, de La Tour Carnet ou de château Fombrauge, aujourd’hui Grand Cru Classé de Saint Emilion.
« Mon ami Joël Robuchon saura, avec son talent et son génie, proposer des œuvres culinaires en parfaite résonance avec ce lieu d’exception artistique et culturel. Mais étant toujours à la recherche de nouveaux plaisirs gustatifs pour éveiller les papilles du plus grand nombre, j’ai souhaité une cave d’exception, composée de tous les Grands Crus Classés de Bordeaux », annonce fièrement Bernard Magrez.
Le sommelier proposera donc 259 Grands Crus Classés de Bordeaux et assimilés tels Pomerol, seconds vins et bourgeois. Une collection unique au monde, sans aucun doute. Qu’ils se rassurent : les amateurs de pinots noirs ou de chardonnay retrouveront les plus belles signatures de la Bourgogne. Tout comme quelques flacons d’amis vignerons du Rhône, d’Alsace, d’Armagnac ou encore de pays plus lointains.
Si le service, l’assiette et la carte des vins forment un trio indissociable à « La Grande Maison », il ne saurait être complet sans l’élégance de la décoration et la touche singulière des œuvres d’artistes qui l’illumine.
Faisant de « La Grande Maison Bernard Magrez », la résidence de tous les Arts.
Bernard Magrez et Joel Robuchon, ambassadeurs de l’excellence« La Grande Maison Bernard Magrez », symbolise l’aboutissement des passions respectives des deux Ambassadeurs de l’Excellence dont le maître mot, outre l’exigence, le respect du produit et du terroir, n’est autre que l’ART
Bernard MagrezPropriétaire de quatre Grands Crus Classés dans le Bordelais, Château Pape Clément (Graves), La Tour Carnet (Haut Médoc) Château Fombrauge (Saint Emilion) et le Clos Haut Peyraguey (Sauternes), Bernard Magrez poursuit son intarissable désir d’excellence à travers les vins, les arts et aujourd’hui l’hôtellerie de prestige.
C’est à l’école de la vie, en écoutant son intuition et en s’inspirant du parcours des entrepreneurs avertis que le jeune homme forge son caractère hardi. D’aventures en expériences œnologiques, le destin hors-norme de Bernard Magrez se profile jusqu’à l’acquisition en 1990 du Château Pape Clément. Le patrimoine bordelais deviendra alors le fil conducteur d’une vie scandée de savoureux défis et de délicieuses rencontres.
Si l’homme d’affaires multiple les acquisitions, il n’en reste pas moins sensible aux manifestations de l’art sous toutes ses formes, et c’est en mécène éclairé et attentif qu’il révèle les charmes du Château Labottière, sublime hôtel particulier en plein cœur de Bordeaux et situé en face de La Grande Maison, pour y fonder son Institut Culturel. Rayonnant et inlassablement passionné, il incarne à merveille les idées qui l’animent. Il est le produit sublimé d’un terroir ancré dans la terre et les traditions ancestrales et le chef-d’œuvre que chaque nouveau talent éclaire de son génie.
Joël RobuchonLorsque le jeune homme de 15 ans fait son entrée au restaurant « Relais de Poitiers » en province, en tant qu’apprenti, nul ne se doute que derrière les fourneaux, le destin d’exception de Joël Robuchon est en train de s’aiguiser patiemment. Sa première vocation religieuse est rapidement abandonnée et il cristallise finalement sa foi autour de la gastronomie française. Directeur, meneur et créateur de saveurs, ce fils de maçon poitevin laisse pointer son talent et rapidement impose alors une réputation que les expériences, les distinctions et les multiples reconnaissances du métier viendront parfaire au fil des saisons : la consécration des 3 étoiles Michelin en 1984, au Jamin (Paris), obtenues en trois ans ! Unique. A peine dix ans plus tard, son nouvel établissement parisien baptisé Joël Robuchon, sera sacré meilleur restaurant du monde, par l’International Herald Tribune.
Au-delà d’une belle assiette, c’est le plaisir de ses convives et l’amour des bons produits qui animent l’artiste en cuisine. Il revisite les codes de la Haute Gastronomie en « Atelier » et, entouré des meilleurs partenaires, il inaugurera des lieux uniques, chemisés de rouge et de noir, baignés de convivialité où la cuisine évolue sous le regard des convives à Paris, Tokyo, Las Vegas, Londres, Monaco, Hong Kong, Macao, Taïpei Bangkok, Singapour…. Pour répondre aux différentes attentes de ses clients du monde entier, Joël Robuchon ouvre également, en plus des Ateliers, d'autres établissements. Dans chacun de ses restaurants, une règle : rester fidèle à ses principes, qui ont fait de lui un guide de la gastronomie française, par un choix de produits exceptionnels et une simplicité d'exécution grâce à son talent dans le choix et la formation de ses chefs.
Quant l ‘art se conjugue à La Grande Maison Bernard MagrezToute une vie passée, fidèlement et inlassablement, à produire des vins parmi les meilleurs du monde, à rechercher l’absolu, à éveiller les sens et faire frissonner d’émotion, par la dégustation d’un plat exceptionnel de texture, de saveurs, de finesse, de cuisson.
Les artisans du palais, que sont Joël Robuchon et Bernard Magrez, au même titre que les peintres, sculpteurs, musiciens, photographes, sont aujourd’hui des artistes, au sommet de leur art. Et dont la quête ultime est d’offrir des moments d’émotion pure et d’émerveillement permanent.
A « La Grande Maison Bernard Magrez», le mot ART se conjugue au présent, par les témoignages du passé omniprésents, gages de tradition et d’authenticité. Au futur, par l’histoire qui continue de s’écrire. Et surtout au quotidien, par un souci du détail et de la perfection.
En préambule, l’Art de vivre à la française, ce supplément d’âme si français, ayant pour synonymes élégance, raffinement, gastronomie, grands vins, culture…que le monde entier nous envie. Tous résidents à « La Grande Maison », orchestrés par le savoir-faire et le talent de professionnels de l’hôtellerie, de la restauration, de l’œnologie, de la décoration ou encore de l’architecture.
L’art de recevoir du directeur, connaître et reconnaître ses clients, avec cet œil averti et professionnel, tout l’art et la manière de devancer leurs attentes.
L’art du service cousu-main, de l’accueil attentionné, du sourire permanent et de la prévenance du geste.
L’art du sommelier de partager ses connaissances, d’apprendre la dégustation, l’art de carafer un millésime rare. Et d’initier à un premier grand vin, qui marquera soudainement le début d’une passion par un éblouissement mémorable.
L’art du chef de faire de chaque assiette une œuvre unique, d’un plat, une explosion de saveurs et de textures. Et d’un menu, une succession de sensations rares.
L’art de la gouvernante de multiplier et soigner les détails infimes, à peine remarqués mais remarquables de prévenance, et feront d’une chambre confortable, un cocon d’une douceur infinie.
L’art du détail magnifiant l’ambiance dans l’entrée, du parfum maison Or Rose aux notes discrètes de rose poudrée et pivoine, d’une monumentale coupe-rafraîchissoir Christofle numérotée accueillant bouteilles et magnums.
L’art du bien être dans la salle de bain en marbre de Carrare et faïence, d’un flacon « Terre d’Hermès » pour Monsieur et « Jour d’Hermès » pour Madame, à disposition.
L’art du choix des meilleurs artisans français de la décoration, des passementeries et galons brodés des rideaux, du duo de consoles Napoléon III
A « La Grande Maison Bernard Magrez », l’Art s’expose de toutes parts mais ne se laisse découvrir que par les esthètes : ceux qui viennent chercher l’accord parfait, l’expérience unique et l’émotion rare.
Destination bordeaux, patrimoine culturel et grands vinsAprès Paris, celle que l’on nomme la « perle d’Aquitaine » compte le plus grand nombre de monuments classés.
L’inscription du « Port de la Lune », un quartier singulier, au patrimoine mondial de l’UNESCO, reconnaît à Bordeaux la valeur exceptionnelle de son patrimoine. Son urbanisme du Siècle des Lumières, son architecture et l’importance de son port au cours des siècles, sans oublier bien sûr bien sur son vignoble et ses grands vins, lui valent d’être une grande métropole, renommée et admirée.
Un vrai bonheur de découvrir la ville et ses bâtiments, hôtels particuliers ou quartiers typiques, flâner le long du fleuve, traverser le Pont de Pierre et ses 17 arches… Admirer la Place de la Bourse, la place du Parlement, les Allées de Tourny ou se perdre dans le Quartier des Chartrons… Traverser le Jardin Public, havre de paix, bordé par les plus beaux hôtels particuliers de la ville !
L’activité culturelle est dense, entre une multitude de grands musées et de galeries d’art, le grand théâtre, véritable institution bordelaise.
Authentique, charmeuse, racée, Bordeaux est une ville attachante.
Sa transformation actuelle, des quais de la Garonne, le fleuve qui la traverse, la réhabilitation de ses quartiers emblématiques, le dynamisme de son économie et surtout l’emballement de ses projets culturels, en font une ville turbulente, mouvante, et de plus en plus internationale.
Mais Bordeaux reste avant tout la capitale Mondiale des Vins avec ses noms magiques Saint Emilion, Pauillac, Sauternes, Margaux et autres Pomerol…
Son vignoble et la notoriété de ses grands vins depuis des siècles, rayonnent toujours au firmament. La magie de ses illustres châteaux et le secret de l’élaboration de ses grands crus ont permis de développer aujourd’hui un tourisme autour du vin.
Bernard Magrez, pionnier de l’oenotourisme de luxe, avec son agence Luxury Wine Tourism créée en 2008, reçoit ses hôtes dans ses quatre Grands Crus Classés, lieu rêvé pour compléter un séjour à La Grande Maison.
Visites de ses quatre Grands Crus Classés, dans le Médoc, à Sauternes, Saint-Emilion et dans les Graves, cours de dégustation, atelier du vin où l’on apprend à composer son propre assemblage, séjours ou dîners dans les salles à manger des châteaux, échappées belles en Rolls ou en Hélicoptère…. Autant d’activités sur mesure.
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