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Le 5 Codet, la nouvelle adresse parisienne étonnante et discrète (France)

Niché dans une rue calme des beaux quartiers du 7e arrondissement donnant sur les Invalides, l’hôtel Le 5 Codet est une belle adresse pour une clientèle amoureuse de la rive gauche, connaissant déjà Paris et à la recherche d’un hôtel différent par son architecture et le concept de ses chambres.

Le 5 Codet, la nouvelle adresse parisienne étonnante et discrète (France)

Niché dans une rue calme des beaux quartiers du 7e arrondissement donnant sur les Invalides, l’hôtel Le 5 Codet est une belle adresse pour une clientèle amoureuse de la rive gauche, connaissant déjà Paris et à la recherche d’un hôtel différent par son architecture et le concept de ses chambres.

Catégorie : Europe - France - Économie du secteur - Ouvertures d'hôtels
Article rédigé par Sylvie Leroy le 11-04-2014


Le bâtiment des années 30, un ancien central téléphonique, a été acheté à France Télécom par les propriétaires du Burgundy. Ils ont confié à l’architecte d’intérieur et designer Jean-Philippe Nuel le soin de l’agencer pour le transformer en hôtel 5 étoiles de 68 chambres dont quatre suites, en tirant avantage des 5,50 mètres de hauteur sous plafond et des grandes baies vitrées de chaque étage.

Dans le hall d’accueil sont posés deux hauts desks en marbre et des banquettes d’accueil. Le concierge sera assis à un bureau en édition limitée dessiné par Jean-Philippe Nuel et placé face à la réception. Du lobby, un grand escalier en bois donne accès à une bibliothèque. Le lobby sera aussi lieu d’exposition de tableaux et photographies d’artistes comme Jean-Pierre Porcher.

Du lobby, on accède à un patio ouvrant sur le bar par une large baie à pans vitrés qui se replient. Le bar est très moderne avec une cheminée centrale. À l’arrière du bar, une show-kitchen permettra aux clients de prendre leurs petits déjeuners à côté du chef qui cuisine à la demande. En journée et soirée, un petite restauration sera également proposée.

Les chambres se répartissent sur quatre étages. Elles ont toutes de beaux volumes, ce qui a permis à Jean-Philippe Nuel de les concevoir comme de petits appartements. L’objectif étant de casser complètement les codes hôteliers et que chaque client ait l’impression de posséder son pied-à-terre à Paris. Ainsi les chambres n’ont ni bureau ni porte-bagages. Pour Julien Douieb, directeur général de l’hôtel, cette volonté est double : « l’immeuble s’y prête et c’est aussi faire quelque chose de différent parce que le bâtiment est quelque chose de différent. Il n’y a quasiment pas d’hôtels qui ont une architecture comme celle-ci. »

Au dernier étage, se situent quatre suites au sol parqueté d’un bois en chêne naturel. La chambre à coucher et le salon sont en longueur et donnent sur une grande terrasse végétalisée où trône un jacuzzi. Dans les salles de bains, le Corian est omniprésent avec de grandes vasques abat-jour et une robinetterie en bec de cygne. La baignoire longe la baie vitrée de la terrasse. Les parois de la douche sont recouverts d’un carrelage imitant le bois du sol, donnant ainsi une continuité.

La plus grande des suites fait 85 m². Elle est équipée d’un dressing, d’une baignoire et d’une douche. Elle compte une chambre, un salon et des toilettes invités. Une très grande terrasse fait le tour de la suite et accueille également un jacuzzi. Elle offre une vue à la fois sur la Tour Eiffel d’un côté et sur le dôme des Invalides de l’autre.

D’autres chambres en duplex ont au premier niveau une salle de bains, toilettes et un petit salon et au niveau supérieur en mezzanine la chambre et la salle de bain, avec une belle baignoire. Dans le salon, quatre prises sont prévues : France, États-Unis, Angleterre et USB. Derrière chaque télé, des mini Mac sont posés derrière l’écran et donnent accès à une banque de données musicales, air-play, Internet, films etc. Le rideau de 5 mètres de haut s’ouvre et se ferme par télécommande. Toutes les chambres sont décorées de tableaux posés ça et là. Plus de 500 œuvres ont été commandées.

La plus petite des chambres fait 17 m², puis des chambres de 25 m², 35 m², 45 m², 60 m² et enfin la suite de 85 m². L’hôtel compte 20 chambres sur 68 en duplex. Certaines donnent côté rue et d’autre côté cour.

Le système de climatisation et de chauffage est de dernière génération. Il permet à l'hôtelier par exemple de régler la température d’une chambre à distance à partir d’une application mobile. Partir d’open-spaces vides permet aussi de bâtir des murs extrêmement bien insonorisés. Les portes sont en 48dB, ce qui assure à la clientèle une isolation phonique optimale.

Dans l’escalier, toute la ferronnerie d’origine du bâtiment a été conservée et les pièces manquantes refaites à l’identique.

Le spa comptera une ou deux cabines de massage, un hammam, une salle de sport et un jacuzzi extérieur dans une petite cour aménagée.

L’ouverture de l’hôtel est prévue pour juillet 2014 en soft opening. Le directeur général de l’hôtel compte principalement sur une clientèle d’Américains et d’Européens. Les atouts de l’établissement sont sa situation dans un quartier très sûr, à proximité de la Tour Eiffel, des Invalides et du Musée Rodin.

À propos de l'auteur

Sylvie Leroy, éditeur enthousiaste depuis 1999
Sa passion pour l'hôtellerie de luxe, « une partition jouée à la perfection par un fantastique orchestre », conduit Sylvie Leroy à créer en 2004 le Journal des Palaces, quotidien en ligne dédié aux acteurs du secteur, avec des actualités, des offres d'emploi et des ressources utiles.

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